Dominique Anglade visite le CNETE à Shawinigan

SHAWINIGAN.  La cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ) Dominique Anglade est débarquée à Shawinigan jeudi, précisément au Centre national en électrochimie et en technologies environnementales (CNETE) situé au Cégep de Shawinigan afin d’en apprendre plus sur les différents projets en marche en Mauricie afin de se doter de plus d’information pour son projet ÉCO annoncé en novembre dernier.

Le projet ÉCO unis à la fois l’écologie et l’économie et la cheffe du PLQ compte mettre à profit toutes les régions du Québec.

Après avoir visité le CNETE, une conférence virtuelle a été organisée avec divers acteurs de la région afin que ceux-ci puissent faire connaître davantage leur projet à la cheffe libérale Anglade.

« Je savais que le CNETE était une perle. Il y a des recherches extraordinaires qui se font ici avec un potentiel réel pour le Québec et le secteur de l’exportation. Mais en étant ici, on voit la profondeur qu’il y a, avec des domaines variés. Le recyclage pour les piles, les biocarburants qui peuvent être utilisés pour remplacer les hydrocarbures, la question de la biomasse forestière… Un potentiel extraordinaire qui s’intègre parfaitement dans le projet de société qu’on veut mettre de l’avant avec ÉCO », exprime Dominique Anglade.

La visite au CNETE a dépassé les attentes de la cheffe libérale. « On est capable de faire la lutte aux changements climatiques ici au Québec avec nos propres moyens. 55% de l’énergie qu’on consomme ce sont des hydrocarbures, il faut qu’on enlève ça. L’électrification des transports va répondre seulement à un volet. Les biocarburants et l’hydrogène vert vont jouer un rôle essentiel. Ici il y a des solutions réelles pour y arriver », ajoute Mme Anglade.

La directrice générale du CNETE Nancy Déziel était très heureuse de voir la cheffe libérale débarquer chez elle. « On a été contacté par l’équipe de Mme Anglade puisqu’elle est à consulter les experts pour sa plateforme ÉCO. Elle voulait se renseigner sur ce qu’on fait en technologie environnementale. Divers intervenants de la région ont pu lui parler de leur projet. Elle est venue prendre le pouls sur où on en est. »