Frédéric Dion président d’honneur du Relais pour la vie

GÉNÉROSITÉ. Le 16e Relais pour la vie de Shawinigan se déroulera le 6 juin prochain au Parc de la Rivière-Grand-Mère et c’est l’aventurier et conférencier de la région Frédéric Dion qui en sera le président d’honneur.

Cette année, les organisateurs du Relais pour la vie de Shawinigan ont pour objectif d’amasser plus de 110 000$, et de voir plus de 25 équipes inscrites. L’an passé, le Relais pour la vie avait permis de remettre un montant de 105 226$ à la Société canadienne du cancer, et 22 équipes avaient participé à la marche de 12 heures.

C’est sous le thème «Culture du monde» qu’aura lieu l’événement, de là la pertinence d’avoir Frédéric Dion comme président d’honneur. Pendant la soirée, on retrouvera des chanteurs et musiciens qui interpréteront des succès d’ici et d’ailleurs. Des jeunes de l’école des Maëstro seront présents, il y aura aussi des ateliers de danse tribale et d’autres surprises.

L’escouade verte Boomerang sera aussi présente afin que l’événement soit plus environnemental. Les participants sont d’ailleurs invités à apporter un bol de soupe et une tasse de café réutilisable. D’ailleurs, la Société Laurentide offrira un gallon de peinture Boomerang à édition limitée nommée «Jaune Espoir».

Pour une deuxième année, il y aura un mini-relais pour les enfants à compter de 18h.

Grâce à la recherche, le taux de survie a grandement augmenté depuis plusieurs années. Actuellement, 63% des gens passent à travers un cancer, et l’objectif est d’en arriver à un taux de 80% d’ici 2030 grâce à la recherche et aux montants amassés.

Pour Frédéric Dion, le relais pour la vie n’est pas seulement une occasion de récolter de l’argent pour la recherche, mais c’est aussi une occasion pour les participants de relever un défi pour le dépassement, la confiance et l’estime de soi. «Peu importe que le défi soit grand ou petit, chaque défi apporte de la confiance en soi.»

Caroline Althot a été désignée comme porte-parole des porteurs d’espoir, et elle a témoigné comment elle a pu traverser cette épreuve. «Quand je suis rentrée chez moi après avoir reçu le verdict, je pensais à ma fille de 7 mois et j’ai craint le pire, j’ai été pendant 24 heures à penser que j’allais mourir. Puis je me suis dit que ce n’était pas comme ça que je voulais vivre cette épreuve. Plutôt de le vivre sereinement et de façon positive autant que possible. On n’a souvent pas le choix sur les épreuves qu’on doit vivre, mais on a toujours le choix de la façon qu’on veut les vivre.»

Il est possible d’obtenir plus d’information ou de s’inscrire via le site web à l’adresse relaispourlavie.ca.