La cause de toute une communauté

C’est sous la co-présidence d’honneur de Guy Pellerin (Uniprix) et d’André Héon (Caisse Desjardins du Centre Sud) que se tiendra le jeudi 25 octobre au Broadway Pub la levée de fonds organisée par Christian Maurais au bénéfice de la recherche sur la fibrose kystique, une maladie affligeant sa fille Camille.

Sous la formule d’un 5 à 7 avec des personnalités régionales comme serveur d’un soir, l’activité se veut un rendez-vous incontournable à Shawinigan depuis maintenant six ans. Cette année, le service aux tables sera assuré par Philippe Asselin, Annie Lemay et Guillaume Gignac, tous du Centre de Santé et de Services sociaux de l’Énergie, Sylvio Cloutier (Boucherie Nobert), Alain Boucher (Collège Shawinigan), Josée Boisvert (Ronor International), Daniel Thériault (Robert Fer & Métaux), Katherine Lavergne (Zen Beauté de l’Auberge Gouverneur), Véronique Alain (SIM), Stéphane Diamond (Portes & Fenêtres Gérard Milette), Nancy Allaire (L’Hebdo du Saint-Maurice), Laurent Carrier (Régis Côté Architectes) et Mélanie Pellerin (Uniprix).

La popularité de l’événement ne se dément pas année après année. Quatre items seront mis à l’encan dont un aviron de Serge Corbin, 26 fois vainqueurs de la Classique, et un chandail du Canadien porté par Michaël Bournival. Plus de 150 prix de présence seront tirés au sort durant l’activité.

Le succès du 5 à 7 est le fruit du travail de collaborateurs de longue date comme Pierre-Yves Rousselle (Caisse Desjardins du Haut Shawinigan) qui en assure l’animation avec sa verve habituelle et Réal Maurais, le père de Christian, qui veille à réunir les cadeaux des commanditaires. Il faut aussi souligner la présence de Denis Bouchard qui, pour une 3e année de suite, sera le maître d’œuvre de l’animation musicale. Un nouveau venu pour cette 6e édition: Alimentation Marcotte qui offrira gratuitement des ailes de poulet aux participants.

Depuis les débuts de la levée de fonds en 2007, ce sont plus de 50 000$ qui ont été versés pour la recherche sur la fibrose kystique. Un résultat qui a des échos jusqu’au bureau chef de l’Association à Montréal. Soulignons que les soins prodigués permettent aujourd’hui à ceux qui en souffrent d’avoir une espérance de vie au-delà de 40 ans alors qu’il n’y a pas si longtemps, elle se situait à l’adolescence.