Trotter au Festival Western pour une première fois
COMMENTAIRE. Malgré la proximité entre les deux villes, le petit gars de La Tuque que je suis n’avait jamais connu l’ambiance du Festival Western de St-Tite. Il était temps me direz-vous? Oui, cette année, j’ai trotté dans les rues de la ville du cuir et sans aucun doute, la gentillesse des St-Titiens a retenu mon attention.
À quelques occasions, j’ai dû me rendre à St-Tite pour le travail en quelques occasions au cours de la dernière année. J’avais entendu parler du Festival Western, sans toutefois le vivre. On me disait que le village était complètement différent, mais jamais je ne m’attendais à cette ampleur! Lors de ma première visite, je dois avouer que j’étais quelque peu perdu. Mais bon! Les gens du coin ont vite fait de venir à ma rencontre pour m’expliquer les directions lorsqu’ils me voyaient regarder ma carte en fronçant les sourcils.
Premier choc: les kiosques directement devant les maisons! Je savais qu’il y avait des kiosques en masse, mais autant et devant les résidences… jamais!
Les citoyens louent leur terrain aux différents artisans et aux campeurs, mais y laissent aussi une partie de leur intimité. Paraît-il que les St-Titiens ont l’habitude.
Que dire de l’ambiance lors des rodéos! Pendant la durée de l’événement, je dois avouer que ma mâchoire est demeurée ouverte en plusieurs occasions et les yeux écarquillés!
Avant le lancement du 47e Festival Western de St-Tite, le directeur général Pascal Lafrenière soulignait qu’il fallait le vivre une fois dans sa vie, je ne pourrais jamais aller à l’encontre de cette citation.